Le salarié avait donné des coups à M. [Y], sans qu'il soit avéré qu'il se défendait d'une agression. Ces faits s'étaient produits hors de l'entreprise. Ils avaient opposé l'intéressé à un tiers et non à un collègue. L'employeur, comme il l'indiquait dans la lettre de licenciement, était informé d'une situation de tension entre ces deux chauffeurs
Arrêt 20-16841
du 21/09/2022