La lettre de licenciement visait la désorganisation non de l'entreprise mais du service auquel appartenait le salarié. L'employeur ne soutenait pas que la perturbation dans le fonctionnement de l'entreprise avait entrainé la nécessité pour lui de procéder au remplacement définitif du salarié absent par l'engagement d'un autre salarié. La Cour de cassation a donné tort à l'employeur
Arrêt 21-10261
du 06/07/2022