Le salarié évoque l’existence d’une prime repas « occulte » versée par un compte distinct . Il apparaît cependant que l’employeur n’a jamais eu l’intention de dissimuler d’une manière ou d’une autre cette prime intitulée « meal allowance » qui faisait l’objet d’un virement bancaire, de fiches de remboursement et de courriels envoyés aux salariés.
Arrêt 17-11082
du 30/05/2018