Les faits constituaient de la part du salarié, placé au sommet de la hiérarchie de la mutuelle, une opposition systématique aux décisions de ses instances dirigeantes, et plus précisément de son président, une insubordination persistante et un comportement dénigrant, dont l’intensité, la durée et les conséquences sur le fonctionnement de cette mutuelle rendaient impossible son maintien dans l’entreprise et étaient constitutifs d’une faute grave
Arrêt 17-14642
du 24/05/2018