la concomitance entre l'absence du salarié le 2 octobre 2014 et le courriel, adressé le même jour à la direction par son supérieur hiérarchique expliquant que le salarié avait indiqué devoir s'absenter précipitamment en raison de la fuite de son perroquet hors de la cage, suffit à rapporter la preuve du motif personnel de l'absence du salarié. La Cour d'Appel a estimé la sanction proportionnée à l'abandon de poste
Arrêt 19-20781
du 13/01/2021